L’institut Chronos et l’ObSoCo ont créé l’Observatoire des mobilités émergentes qui étudie les nouvelles formes de mobilité partagée, les habitudes des Français et leurs attentes dans ce domaine.

 

Leur enquête sur 4000 personnes a permis de montrer les mutations en termes d’usages et leur répartition géographique et sociale, avec comme idée : les mobilités alternatives se développent certes, mais plutôt vite en ville et surtout dans les catégories supérieures

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De moins en moins présente en ville, la voiture individuelle reste fortement utilisée dans les milieux ruraux et permet aux pratiques de covoiturage (7% des km parcourus en 2014) de se démultiplier partout en France, sur les courtes comme les longues distances (1/3 des trajets).

Cette solution, pour le moment plus répandue (comme l’autopartage) dans les CSP+, est un levier intéressant face à la saturation pendulaire des transports en commun dans les grandes villes (par exemple, le RER peut être occupé à 200% en heure de pointe, contre une moyenne de 40% en général), tout comme le sont le télétravail ou le décalage des horaires de travail.

 

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