Après le Bilan Carbone, à quand l'analyse des enjeux biodiversité ?

Un rapport de 2021 de la Banque mondiale estimait que l'effondrement de certains services fournis par la nature (pollinisation, nourriture issue de la pêche marine, bois provenant des forêts naturelles…) pourrait amputer le PIB mondial de 2 700 milliards de dollars par an d'ici à 2030.

Aujourd’hui, économie et biodiversité peuvent se nourrir l’un l’autre : c’est la notion de double matérialité, concept clé de la CSRD, qui souligne que les deux dimensions, financières et d'impact, sont interdépendantes. Celles-ci doivent être prises en compte conjointement dans l'évaluation globale de la performance d'une entreprise.

Comment tirer parti des services rendus par la nature ?

Nausicaá, plus grand aquarium d'Europe, a justement travaillé le sujet de la biodiversité sur l'ensemble de ses métiers, grâce à sa stratégie RSE, au référentiel ISO 26000 et la CSRD.

Comment a-t-il identifié les leviers actionnables ? Comment a-t-il structuré ses actions autour de la nature ? Comment mesure-t-il l’impact de la biodiversité sur son activité, et vice et versa ?

Ingrid Picquart, directrice RSE, vous expliquera comment les actions de Nausicaá participent à la préservation de la biodiversité, et comment celle-ci nourrit les ambitions du centre marin.

Lait Prairies du Boulonnais, coopérative agricole qui regroupe 7 fermes laitières et dont l’activité est fortement dépendante de l’environnement et de la biodiversité, partagera également quelques actions et démarches mises en œuvre.

 

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